mardi 11 juin 2019

Bientôt sur votre liseuse et chez vous...

mardi 11 juin 2019
L'épisode 1 de "Cupcake & Co(caïne)" de Fleur Hana qui sortira le 21 juin en auto-édition : la partie une (sur trois) est proposée à la précommande à petit prix (0,99€) à ce prix-là, on ne peut passer à côté ^^ 

Présentation de l'éditrice
Comment suis-je passée de la farine à la cocaïne ?
Au départ, je voulais juste vendre mes cupcakes. 
Ils sont délicieux, vous savez. 
J’avais même prévu une version glacée pour l’été. Un cupcake spécial Côte d’Azur.
Tout devait se dérouler sans accroc. 
Enfin ça, c’était la théorie.
La pratique ? Aujourd’hui, me voilà en cavale avec un flic sexy, des mafieux russes, un poney nain et un trafic de drogue dure !


Fleur Hana réussit le pari de mixer à la perfection comédie policière et chicklit. Un savoureux mélange entre Bridget Jones, Le meilleur pâtissier et Brooklin 99.

Novella (32 000 mots environ), plus petite qu'un roman, plus grande qu'une nouvelle !
Épisode 1/3
Prix de lancement jusqu'au 25 juin 2019 !



Un extrait ??? qui donne envie, non? 
– Je trouve que vous parlez beaucoup de mon cul, Charlie.
– C’est à cause de votre tête.
– Quoi ?
– Vous avez une tête de cul, ça biaise toute ma perception de votre personne.
– Faites attention, vous arrivez au bout de ma patience.
– Oh, parce que vous étiez patient ? C’est vrai que jusque-là, j’aurais pu vous confondre avec un moine tibétain.
– Retournez vous coucher.
– Je n’ai plus sommeil.
La porte s’ouvre et nous nous tournons tous les deux dans cette direction. Gina pose quelque chose sur la commode à l’entrée de la chambre, sans nous prêter la moindre attention, puis lance avant de refermer :
– Je mets mes boules Quiès.
Maxence se prend la tête dans les mains et je vois un léger tremblement au niveau de ses épaules. Intriguée, je m’approche de la commode et découvre… trois préservatifs ! Non, mais ! Déjà un, ce serait du grand n’importe-quoi, mais trois ! Allons-y gaiement ! Je me retourne pour signifier au lieutenant ma stupéfaction et je constate qu’en fait, il se marre, ce con ! Les tremblements, c’est parce qu’il rit derrière ses paumes. J’en reste figée, les préservatifs en main, à l’observer totalement lâcher prise. J’ignorais qu’il était capable de rire. Bien sûr, c’est stupide, tout le monde peut rire. Mais lui, j’avais dans l’idée qu’il y avait eu un problème à l’assemblage et qu’il avait été livré sans l’option. Il ne fait pas de bruit, je ne sais pas si c’est pour préserver le peu de dignité qu’il me reste ou parce que, malgré les boules Quiès, il a peur de déranger sa grand-mère, mais il rit silencieusement. Il m’est impossible de voir son visage et pourtant, c’est le détail qui manque pour que je parvienne à y croire. J’attends patiemment que son hilarité se calme. Je veux dire, j’attends longtemps qu’il cesse de se foutre de moi. Si bien que lorsqu’il se retourne enfin après s’être lâchement planqué en m’offrant son dos comme point de vue, je suis accoudée sur le chiffonnier, le menton dans la main, arborant l’air le plus las que j’ai en stock.
– Vous avez terminé ?


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