samedi 12 avril 2025

Une très belle histoire, pleine de surprises et touchante.

samedi 12 avril 2025

 Vi Keeland propose toujours des romans qui ne se ressemblent jamais. C'est le cas avec son dernier roman "Pour une surprise" que j'ai adoré tant il est différent de ce qu'on peut lire habituellement : de plus, il aborde des thèmes forts comme la fin de vie, qui est en discussion chez nous actuellement (alors qu'aux USA, selon les états, on peut l'aborder différemment)
Ici, nous découvrons Beck, un homme d'affaires, père célibataire, qui va se lancer à la poursuite de sa grand-mère, Louise (oui, oui, sa grand-mère) qui, atteinte d'un cancer, a décidé de profiter de ses derniers mois de vie pour réaliser ce dont elle a envie. Elle est accompagnée en cela par Nora une jeune femme (mais lui pense qu'elle a l'âge de sa grand-mère), qui tient un blog, et raconte dedans ce qu'elles font. Or, Beck en a assez et décide d'essayer de raisonner sa grand-mère afin qu'elle ralentisse un peu mais... il va rencontrer Nora et son monde va changer : non seulement la jeune femme ne veut pas freiner Louise mais en plus, elle ne veut pas de relation avec cet homme, qui certes l'attire, mais qui habite loin d'elle et pourrait être trop rigide.
Pourtant... tous deux vont apprendre à se connaître (on rit beaucoup car ils ont des répartis terribles aussi bien les uns que les autres) mais la vie est pleine de surprises et pourrait leur jouer des tours : à vous d'aller voir comment ces deux-là vont trouver leur happy-end et je vous le dis, attendez-vous à être surpris et être émus, plus d'une fois. J'avoue que je ne m'attendais pas à la fin mais en même temps, beaucoup de choses s'expliquent. Bref, je n'en dirai pas plus si ce n'est, foncez le lire! 

"Pour une surprise" est sorti le 19 mars en auto-édition et je remercie l'auteur et Aurélie pour leur envoi en service presse non rémunéré.

Présentation

Vi Keeland, auteure de bests-sellers no 1 au classement du New York Times, nous livre un nouveau roman intégral, torride et sexy.

Quand ma grand-mère a découvert qu’elle n’en avait plus pour très longtemps à vivre, elle s'est lancée dans de folles aventures, comme sauter d’un avion ou encore faire de la plongée avec des requins.
Et devant mes protestations répétées, mamie m’a tout simplement bloqué ‒ 
moi, son propre petit-fils ‒ sur les réseaux sociaux, ne me laissant que le numéro de téléphone d’Eleanor, sa compagne de voyage.
Eleanor a commencé à m’envoyer des photos des aventures de mamie. D’abord, elle m’a paru sympathique, mais quand j’ai tenté de la persuader de faire entendre raison à son amie, elle m’a répondu de me mettre ce conseil là où je pensais. Après quoi, les photos étaient toujours assorties de commentaires sarcastiques. Il faut dire qu’Eleanor et moi étions aussi cinglants l’un que l’autre.
En apprenant que les projets de mamie avaient encore franchi un cap en matière de danger, j’ai sauté dans un avion. Une fois à l’hôtel, comme il était tard, je suis allé boire un verre au bar en me disant que je la surprendrais le lendemain matin.
Pour mon plus grand plaisir, j’y ai rencontré une femme splendide qui cherchait une aventure d’un soir. 
Nora était exactement ce dont j’avais besoin. Elle est montée dans sa chambre en me proposant de la rejoindre dix minutes plus tard. Profitant de ce moment pour payer son addition, je me suis alors rendu compte qu’elle avait beaucoup trop bu. Et j’avais beau avoir très envie de monter, j’ai préféré lui poser un lapin.
Je savais qu’elle m’en voudrait, mais en même temps, je n’étais plus jamais censé la revoir.
Sauf qu’il ne faut jamais dire 
jamais. En l’occurrence, le lendemain matin, en descendant retrouver ma grand-mère et son incorrigible compagne, j’ai découvert que la vieille Eleanor et la jeune Nora n’étaient qu’une seule et même personne. Et si je croyais qu’elle serait fâchée, j’étais très loin du compte. D’autant plus que je venais gâcher leur petite aventure en m’incrustant dans le tableau. Désormais, elles allaient devoir me supporter.

Mon avis : Je l'avoue, j'ai beaucoup aimé ce roman car comme à son habitude, Vi Keeland ne cesse de nous surprendre aussi bien par la romance que par les thèmes abordés : on alterne éclats de rire et émotions, voire tristesse. 
Beck est un homme fort, qui a noyé son chagrin dans son travail : il adore sa petite fille mais comme tout père divorcé, il doit la partager avec sa mère. C'est sa grand-mère qui les a élevés son frère et lui après le décès de leurs parents et il l'adore : bien que celle-ci ait fait le choix de vivre ses derniers instants comme elle l'a décidé, il n'est pas prêt à la perdre, même s'il prétend le contraire. C'est un homme adorable une fois que l'amure autour de lui est brisé et on a mal pour lui et vraiment, on ne comprend pas toujours les réactions de Nora. Bref, c'est lui qui craque en premier et son histoire ne va pas être simple à vivre.

Nora, ben c'est Nora: on la découvre progressivement et ce n'est pas le genre de femme à se laisser faire : elle sait tenir tête à Beck et j'avoue avoir ri plus d'une fois. Pourtant, elle m'a agacée car je trouvais qu'il ne méritait pas toujours la manière dont elle le traitait. Bref, vous découvrirez son histoire donc, je n'en dis pas plus : sacrée femme en tout cas. 

J'ai adoré autant Louise que Jack son petit frère qui est l'opposé de Beck : il est proche de tous les deux et il les adore : tous deux ont de la répartie et n'hésite pas à se moquer de lui : pourtant, ils l'adorent et le soutiennent à tous les instants et notamment quand rien n'est simple pour lui. J'aimerais que Jack ait son histoire. 

Bref, c'est une superbe histoire avec des retournements de situation réussis. On s'amuse, on rit, on pleure et je ne peux que vous le conseiller : il se dévore. Il aborde des sujets qui ne sont pas simples comme la fin de vie et pourtant, le tout passe très bien avec ces personnalités et cette jolie et sexy romance. À découvrir absolument. 


vendredi 11 avril 2025

Sortie du jour

vendredi 11 avril 2025

 

Le dernier roman  @estelle.every "Mon faux mariage (presque) parfait" qui est sorti ce jour et que j'ai pris en KU.

Une actrice américaine, un milliardaire écossais, une grand-mère rusée, et… un mouton incontrôlable.
Qu’est-ce qui pourrait mal tourner ?

Quand la carrière de Jane Carter, actrice américaine en perte de vitesse, touche le fond après un scandale médiatique, elle accepte une proposition aussi folle qu’inattendue : épouser Callum McGregor, un riche homme d’affaires écossais, pour un mariage arrangé. Callum, de son côté, n’a qu’un seul objectif : récupérer l’entreprise familiale en respectant la condition imposée par le testament de son père, qui exige qu’il soit marié avant son prochain anniversaire.
Leur plan est simple : jouer le couple parfait le temps qu’il faut. Mais rien ne se passe comme prévu. Entre les traditions écossaises que Jane ne comprend pas, les pièges savamment orchestrés par la grand-mère malicieuse pour tester leur "amour", et les différences de personnalité explosives entre Jane et Callum, leur mariage de façade vire rapidement au chaos.

Coincés dans un château isolé des Highlands, où chaque fête, chaque dîner, et chaque regard des proches met leur mascarade à rude épreuve, Jane et Callum découvrent que, malgré les disputes incessantes et les quiproquos hilarants, leurs sentiments pourraient bien défier le contrat qu’ils avaient signé.
Et si ce faux mariage devenait (presque) parfait ?

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mercredi 9 avril 2025

Une satire acerbe d'une jeune prof.

mercredi 9 avril 2025

 Vous le savez, même si je le mets pas en avant sur le blog, je suis prof de français et j'avoue que lorsque Babelio m'a envoyé en masse critique (merci à eux) "Chroniques noires d'un hussard de la république" publié chez Editions F. Deville (merci aussi à eux,  j'étais intriguée (je l'avais sollicité).
 Il s'agit d'un essai dans lequel la jeune femme explique ses débuts dans l'enseignement et ses déboires (et sa déception) pendant son année de formation, si importante (normalement) quand on rentre de ce beau et dur métier car évidemment, on se fait critiquer à longueur d'année mais plus personne ne veut plus passer les concours malgré les soi-disant conditions de travail idylliques! Et quand on la lit, on comprend pourquoi en partie...

Evidemment, je pense que l'on aborde différemment la lecture de ce livre si l'on sait ce qu'est réellement ce métier, ou que l'on est un simple lecteur qui le découvre. 

Comme toute chronique qui se respecte, on suit les ressentis de cette professeure stagiaire au fil de son année scolaire : partagée entre sa formation à l'ESPE ( École supérieure du professorat et de l’éducation) et ses cours en lycée, la jeune femme découvre le décalage abyssale entre ce qu'on lui professe et la réalité du terrain. 

J'avoue avoir bien ri et par moment, avoir été désolée pour cette jeune femme, qui a la base, est très motivée mais qui, au fil du temps, voit ses attentes s'envoler. Mais le pire est qu'elle rentre dans ce métier! Elle aurait un certain nombre d'années de métier, comme moi, cela pourrait en partie se comprendre (quand on a subi de nombreuses réformes et vu le niveau s'effondrer, par exemple) mais elle? elle arrive juste et si elle est déjà autant désabusée....

Bref, cet essai propose un témoignage intéressant, tantôt drôle, tantôt dur mais qui est à lire pour découvrir ce que c'est réellement que ce métier : tout n'est pas noir, tout n'est pas rose mais si l'on ne garde pas l'espoir, il veut mieux en partir : chaque jour, chaque classe, chaque élève est différent et aucune année ne se ressemble mais je dirais une chose, je suis ravie d'avoir échappé à ces formations mentionnées dans ce livre : celles auxquelles j'ai assisté étaient parfois ubuesques, d'autres passionnantes (et j'y ai beaucoup appris) mais là, on sent que l'on reformate des gens enthousiastes à devenir de bons petits soldats de l'EN (qui n'ont pas le choix s'ils veulent avancer) qui évolueront au gré des réformes à venir, devront se plier aux injonctions contradictoires ou alors, témoignage aussi écouté dans mon établissement, on essaie de dégoûter ceux qui auraient la vocation afin de privilégier des contrats courts et éliminer ainsi progressivement les CDI, emblèmes des fonctionnaires. Le pire étant qu'on est là pour aider la jeune génération à se former car ils sont l'avenir du pays. Assez inquiétant. Elle dit d'ailleurs "Le mot « élève » a été dévoyé depuis longtemps : on ne les élève plus, on nous formate à nous abaisser vers ce qu’on considère être leur « niveau », niveau que nous avons nous-mêmes façonné sur plusieurs générations."

En tout cas, ce texte est bien écrit et je l'ai beaucoup apprécié dans son ensemble (j'ai nettement moins aimé les surnoms parfois limites des formateurs, collègues et autres élèves ici et là qui n'étaient pas nécessaires) et je vous le conseille si vous avez envie de découvrir ce qu'est l'Education Nationale et sans doute pourquoi on en arrive là aujourd'hui. Attention, il est évident que les parents ont leur rôle à jouer et là... bref, c'est un autre débat!

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Cet essai est sorti le 17 février aux  Editions F Deville 

Présentation

Une fois le concours de l’enseignement en poche, on se dit que ça y est : on va pouvoir passer le reste de sa vie à transmettre ce que l’on aime à de charmants bambins en quête de savoir. Le tout avec la tranquille assurance de celui qui se sait en possession d’un CDI à vie, de deux mois de vacances et de 18 heures de cours par semaine. Cependant, il reste encore une ultime épreuve avant une titularisation en bonne et due forme : l’année de stage. Entre un chef d’établissement qui confond gestion d’un service public et entreprise privée, des formateurs porteurs d’une idéologie de la bienveillance, la pression implicite des inspecteurs et celle, plus explicite, des parents désormais acteurs de l’éducation, le stage relève d’une survie en milieu hostile. Quant aux élèves, ils sont relégués au second plan… quelle ironie de la part d’un système qui prétend les mettre au cœur de ses préoccupations.

Mon avis + : Outre la découverte du métier d'enseignant, notre écrivaine revient sur la continuité pédagogique pendant le confinement dû à la COVID : je me suis revue avec les difficultés pour se connecter, essayer de rester en contact avec tous les élèves, le décalage avec le ministre etc. Bref, cet essai balaie large et est vraiment intéressant. Alors certes, si on est ancré dans l'idéologie, ce texte est une insulte mais si on est dans ce métier, même si tout ne nous correspond pas, force est de constater que la dame vise globalement juste et a priori, ça en dérange certains : rappelez-vous, toute vérité n'est pas bonne à dire. Et pourtant, quand on entend le discours de nos politiques (peu importe) et le décalage de ce qui nous arrive, eh bien, on se dit qu'on n'est pas prêt d'améliorer les choses
Fort heureusement, on a des élèves qui s'en sortiront toujours et nous, on essayera au mieux d'aider ceux qui sont en difficultés mais dans une classe hétérogène de 35, vu qu'il ne faut plus faire redoubler ou quasi (cela coûte cher) cela risque de poser de plus en plus problème. L'accès aux écrans dans le quotidien et à l'école ne nous aidera pas. On se s'étonnera donc plus qu'ils lisent de moins en moins et que forcément, la compréhension diminue. 

Bref, j'en resterai là : c'est un livre dur, pas toujours juste et parfois moqueur mais comme je l'ai dit avant, c'est malheureusement une grande partie de la réalité. Cette jeune femme a l'air motivé malgré tout : espérons qu'elle poursuive et trouve de la satisfaction à aider nos jeunes. Quand on les retrouve quelques années plus tard et qu'ils traversent la rue pour vous saluer et vous dire ce qu'ils sont devenus, c'est toujours une joie : un prof ne fera jamais l'unanimité, ne pourra jamais aider tous ses élèves et sachez, que même s'il y a des brebis galeuses comme dans tout métier, la majorité fait de son mieux, voire plus pour les élèves alors qu'aujourd'hui, ce n'est clairement plus le but de l'Education Nationale (manque de moyens? certainement! volonté de annihiler par le bas?  probablement mais dans quel but? paix sociale? contrôler les pensées et en faire de parfaits citoyens obéissants? peut-être?) 

Si vous vous posez des questions sur "le plus beau métier du monde" (enfin, c'est ce qu'on disait autrefois), je vous invite à découvrir ces chroniques noires qui annoncent bien le ton de cette jeune professeure. Encore une fois, c'est un métier riche et passionnant mais parfois lourd à porter. Cet ouvrage est un bon exemple pour le comprendre. 


Dans ma pal... service presse (non rémunéré) et bientôt chez vous...

Quatre nouveaux romans qui vont sortir chez Juno Publishing et comme toujours, je les remercie (plus que 10 jours, et je vais enfin me poser! ) Ils sortiront le 10 ou  17 avril.


"Axel" de Harper Sloan (sortie le 10 avril)

Présentation : 

Le destin n’a pas toujours été tendre avec Isabelle West. En fait, le destin a été une véritable garce.

Isabelle a appris à ses dépens combien la vie peut être difficile lorsque le destin n’est pas à vos côtés. Il peut vous offrir vos rêves sur des plateaux d’argent, mais il peut aussi vous les reprendre et vous laisser avec des cauchemars. La seule chose dont Isabelle était sûre, c’est que le destin lui enlevait tout ce qu’elle avait aimé.

Ces deux dernières années, Isabelle a doucement réussi à surmonter son passé. Le bonheur se profile enfin à l’horizon. Elle a une entreprise florissante, des amis formidables et elle a retrouvé goût à la vie. Il ne lui reste plus qu’à franchir un dernier obstacle... son ex-mari.

Lorsque des problèmes commencent à lui faire redouter sa nouvelle vie et que des souvenirs qu’il vaut mieux oublier remontent à la surface, la dernière chose dont elle a besoin, c’est qu’un fantôme de son passé vienne frapper à sa porte.

Axel n’a jamais pensé qu’il regarderait à nouveau dans les yeux d’Isabelle West, et il n’est pas sûr de vouloir le faire maintenant. Il porte sa colère depuis si longtemps qu’il n’est pas certain de pouvoir la mettre de côté, mais lorsqu’il doit la protéger et qu’il est confronté au désir inattendu de l’avoir à nouveau, sa vie se complique un peu plus.

Comment Axel et Isabelle vont-ils réagir lorsque toutes leurs cartes seront mises sur la table et que tout ce qu’ils pensaient être vrai leur explosera à la figure ?


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"Arrangement" d'Amy Daws  

Présentation : 

L’arrogant footballeur d’à côté a de sérieux atouts à jouer... heureusement, Daphney Clarke sait comment jouer, elle aussi.

Zander Williams est le nouvel Américain sexy, bien décidé à prendre d’assaut le football européen. Sa tête est si grosse qu’elle rentre à peine sous la casquette qu’il porte à l’envers. Lorsqu’il est recruté par l’une des plus prestigieuses équipes de Londres, il est certain de se faire un nom dans le milieu.

La gestion de l’immeuble où ils vivent n’est qu’une des nombreuses responsabilités du job de Daphney. C’est pourquoi elle n’a aucune patience envers cet Américain odieux qui vit de l’autre côté du mur, qui fait les bruits les plus indécents et qui aime ouvrir sa porte uniquement vêtu d’un torchon rose.

La tension monte et après un baiser torride dans le couloir, la guerre des voisins se transforme rapidement en « voisins avec bénéfices » et c’est une bataille qu’ils ont tous les deux l’intention de gagner.

Mais Daphney ne connaît pas la véritable raison de la présence de Zander à Londres et elle se retrouve coincée au cœur d’un jeu auquel elle ne savait même pas qu’elle jouait.


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"Karma de mêêêrde de Lily Lefébure et Arizona Brooks (sortie le 10 avril) 

Présentation : 

Karma : Dogme central de l’hindouisme et du bouddhisme, selon lequel la destinée d’un être vivant et conscient est déterminée par la totalité de ses actions passées, de ses vies antérieures.

C’est à croire qu’Aeryn et Jaya étaient de vraies pétasses dans les leurs, car dans celles-ci, leurs existences sont jalonnées d’obstacles. Au diable, les emmerdes, on balance tout et on recommence ! Mais si cela était aussi simple, cela se saurait.

Un conseil : Ne jamais rien faire sous l’emprise de l’alcool. Cela risque de vous entraîner dans des situations toutes plus rocambolesques les unes que les autres. Car à cause d’une bonne biture, les deux amies se retrouvent embarquées dans un voyage au bout du monde, ou presque.

De rencontres improbables en quiproquos gênants, venez suivre les aventures des deux Bretonnes dans un roadtrip... qui s’arrêtera au Québec, où elles rendront chèvre un beau bûcheron et un séduisant policier.

Se retrouver nez à nez avec Bouba, le petit ourson, ne serait-il pas le vrai point de départ de leur nouvelle vie ?

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"Tout est sous contrôle (ou presque!)" de R. B. Devaux  (visiblement, c'est une réédition) (17 avril) 

Présentation :

Une fille pas toute seule dans sa tête, un chat un peu taré qui ramène des oiseaux morts, un job compliqué...

La vie de Caitlin n'est pas de tout repos, surtout quand elle doit s'occuper de sa nièce de treize ans pendant une semaine. Elle a déjà assez de mal à se gérer elle-même. Ce n'est pas non plus le meilleur moment : Ashton, l'ancien assistant parfait de sa boss, passe son temps à lui pourrir la vie. Comme si cela ne suffisait pas que le comportement de sa chef ait fini par la mener directement chez un psy.

Entre Caitlin et Ash, y a-t-il plus qu'une rivalité puérile ? La jeune femme va-t-elle survivre à une semaine en compagnie d'une adolescente boostée aux hormones ? Damien, le chat, veut-il vraiment tuer sa maîtresse ?

Ne vous inquiétez pas : tout est sous contrôle (du moins, en apparence).


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dimanche 6 avril 2025

Un premier tome qui donne déjà envie de lire toutes les histoires des autres membres. (lecture Vo)

dimanche 6 avril 2025

 Vous le savez, j'adore les romans de Chantal Fernando depuis des années et je ne suis jamais déçue : le dernier en date, qui est le premier d'une longue série (je l'espère) met en scène un nouveau club de bikers, les "Serpents of Chaos MC" : nous découvrons dans ce premier tome le vice-président "War" qui va rencontrer par le plus grand des hasards, la fille de son président "Rome", "Ora" (il ne sait pas qu'elle l'est) dont le résultat est une grossesse inattendue (je ne spoile pas, c'est dans le résumé) mais outre le fait est que la jeune femme n'a aucune connaissance du monde des bikers mais en plus, elle ne connaît son père que de vue et ne lui a pas dit qui elle était : comment ce dernier, lorsqu'il va le découvrir, va-t-il réagir ? Comment War va-t-il réagir en sachant la vérité? Il va falloir qu'il se batte pour pouvoir garder la femme qu'il la séduite en un instant et faire comprendre à son président que jamais il ne renoncera à elle mais quand les dangers se pointe à la porte du club et mettent en danger la jeune femme et son amie, pourront-ils faire face? eh bien, vous le saurez en lisant cet excellent premier tome qui m'a permis de revoir l'un de mes bikers préférés (toutes séries confondues) et de savoir ce que lui et "old lady" sont devenues (et je suis happppppppppppy!!!) ^^ 

Si vous aimez les histoires de bikers, des héros protecteurs et alphas, des filles badass qui ne se laissent pas faire et tiennent tête à tous, des personnages secondaires importants dont on a déjà envie de lire l'histoire (et il y a pas mal de bikers qui sont attachants et intrigants et les amies de Ora ne sont pas mal non plus), du suspense, une romance hotissime, eh bien, vous ne pourrez qu'aimer ce livre. En tout cas, moi, j'ai hâte de lire le prochain!

"War" est sorti le 28 mars et je remercie Chantal Fernando pour son envoi en ARC et sa confiance. 

Présentation

A biker Vice President. A sweet baker with a secret.
And a one night stand that changed everything.

I didn’t know he was the VP of the Serpents of Chaos MC.
No one knew I was the club president's daughter.
And when the truth comes out, it changes everything.
As a club princess, I should have been off limits to the men.
But War has already claimed me as his.
And now he’s going to have to fight to keep me.
After all, all is fair in love and War.

❤ One night stand
❤ Small town romance
❤ Surprise pregnancy
❤ Found family
❤ Spice
❤ HEA
❤ Biker romance
❤ Possessive OTT hero

War is book one in a sexy new biker romance series by New York Times Bestselling author Chantal Fernando. It can be read as a standalone. Intended for 18+ audiences only.

Mon avis : Chantal Fernando a un don pour créer des histoires de bikers addictives : dès que j'avais 5 mn, je sautais dessus (et en refermant, j'ai ressorti les tomes de sa premières séries, les "Wind of Dragons" dont les 4 premiers ont été traduits en français, seulement) 

Comme toujours, ce ne sont pas des saints et ils n'hésitent pas à enfreindre la loi (et donc en payer les conséquences) s'il le faut, pour leur club mais ils ont des valeurs et protègent les leurs, et notamment leurs femmes. Ils ont un code de valeur qui fait qu'on ne peut que les aimer, même s'ils se comportent parfois comme des rustres! Ils sont lourds mais ont de l'humour et on n'a qu'une hâte les retrouver.

War est le vice-président et nul ne conteste son autorité à part Rome, le président du club : gare à ceux qui oseraient le regarder de travers, lui ou Ora qu'il va vite revendiquer. C'est un homme intense qui de lourds secrets mais qui est prêt à se battre pour obtenir ce qu'il veut ou sauver ses frères et leurs territoires. J'ai aimé ce mélange de brutalité, parfois un peu trop possessif (mais nos bikers ne le sont-ils pas tous?) et cette tendresse dont il est capable, alterné à son côté hot, lorsqu'il est avec Ora.

Cette dernière est une femme qui sait ce qu'elle veut et même si elle craque pour War dès le premier soir, elle n'est pas du style à se laisser dire ce qu'elle doit faire : elle aussi à son secret et pas des moindres : elle est la fille de son président (ce qu'elle ignorait au départ) J'ai aimé qu'elle ait la capacité de ne pas se laisser faire et en même temps de faire preuve de gentillesse envers les autres bikers ou même les filles du club qui sont là pour coucher avec les bikers et pas plus, notamment Heathen que j'aime bien et qui a l'air d'être une chouette fille (j'espère qu'elle aura droit à son bonheur) Ora est un peu impulsive, une cuisinière hors pair qui va séduire tout le club avec sa cuisine et ses pâtisseries : elle n'hésite pas à prendre soin d'eux et même Skull qui est le plus mystérieux d'entre tous.

Bon, on voit se dessiner les deux prochaines intrigues mais j'espère que cela n'en restera pas là et que Rome, Lore, Blade, Danger, Badge (car on ne les a pas encore tous rencontrés) etc. auront tous leurs histoires et que ce ne sera pas une trilogie, mais plutôt une série comme les Wind Dragons. On se doute que les deux amies auront aussi leurs histoires.
Enfin, il ya le côté suspense et la rivalité avec un autre club dont on se doute que ce n'est que le début des problèmes : en espérant qu'il n'y ait pas trop de pertes chez nos "Serpents"

Bref, je devrais conclure en disant "good job" comme d'habitude ;) 

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“AMAZING! HOT! MUST READ!! …This was so well written from beginning to end.” – Goodreads reviewer
 
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I love being a manny. Love it. Especially when my boss goes on extended business trips and leaves me with the keys to his Park Avenue penthouse. I mean, sure, I’ve got to watch his daughter, but she loves me almost as much as she loves her favorite K-Pop group. Really.
 
All is going well until their new neighbor thinks I’m the actual billionaire next door, and I don’t correct her. What could possibly go wrong?
 
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I need to nail down some dirt against the billionaire next door before he succeeds in taking over my family’s company. But, once I meet him, I just want him to nail me. It’s a problem, especially when the guy I’m falling for is nothing like the one I’ve heard so much about. 
 

What’s a girl to do when her heart wants her to give up on her crusade, but her head is telling her no man is worth losing everything for? @crystalperkinsauthor @cockyheroclub

 
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